La pluie s’est levée.
Le câlin du chien quand je rode dans l’appart en me réveillant.
Le câlin du chien quand je rode dans l’appart en me réveillant.
Et, en mode cocooning
dans le canap’, je me dis qu’il va bien falloir que je me bouge un peu.
A l’arrêt de bus, se dire
que le monde est petit et qu’on retombe toujours sur ses pattes.
J’ai dû être chat dans une vie antérieure.
J’ai dû être chat dans une vie antérieure.
S’arrêter sans connaitre
le nom de l’arrêt, juste à se repérer.
Descendre, aller à
contre-sens des autres, et vadrouiller.
Non, je ne suis pas en sucre, et c’est pas un peu d’eau qui me fera fondre.
Non, je ne suis pas en sucre, et c’est pas un peu d’eau qui me fera fondre.
Les rues se sont ternies.
Les parapluies sont de sortie.
Mais les vitrines sont toujours aux couleurs de Noël et illuminent les mirettes malgré tout.
Les parapluies sont de sortie.
Mais les vitrines sont toujours aux couleurs de Noël et illuminent les mirettes malgré tout.
Mais c'est encombrant comme cadeau, et puis je ne sais plus trop où j'ai vu les bonnes boutiques, il faut que je les cherche, pas facile de s'arrêter sans lèche-vitriner sur le reste, et puis voilà hop, je pousse la porte du Bagelstein.
Entrée dans un autre monde.
Ca commence sur la porte, ça s'affiche sur les murs, et y'a même de la couleur et des fausses dédicaces.
J'adore.
Bagel sucré.
Capuccino.
Heureuse.
Elle est pas belle la vie?
Trouver la boutique.
Trainer.
Hésiter et repartir.
Mais sans papier cadeau parce que je n'en ai qu'un bout seulement.
Les montagnes ont la tête dans les nuages.
J'ai la mienne sous la capuche.
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