mercredi 29 janvier 2014

#auxétoiles#

J'ai sorti les rallonges, pour que la table soit grande et longue.
Pour un festin.

On avait choisi de faire la fête après les fêtes, pas besoin de galette, on est tous les rois et les reines, et les Réveillons n'auront qu'à bien se tenir à l'avenir.

J'ai sorti la belle nappe étoilée, toute neuve, argentée; j'y ai mis les sets brillants, les assiettes étoilées, et les bougies parfumées.
La vaisselle des occasions, et les verres des repas de clan.

On a tous mis la main à la patte.
Ils sont arrivés au compte goutte, les premiers à l'heure, et on s'est assemblés autour du feu de cheminée pour commencer à parler.

Il y a eu des retrouvailles, il y a eu des découvertes, et des secrets de filles dans la cuisine.
Il y a eu des messes basses sans curé, et des assiettes entassées dans le lave-vaisselle.
Des questions importantes (éplucher les crevettes ou les laisser telles qu'elles?), j'aime le savoir dans mon dos pour faire les petits à coté.

Si y'en a pour 9, y'en a pour 10.
J'ai refait la table pile à temps.

Les heures se sont égrainées, et au fur et à mesure le calme s'est posé entre les murs.

Et, dans nos têtes, les éclats de rire, les blagues à retardement.
Et les étoiles.
Parce que dans les mirettes, des fois, il en manque un peu.

Pourvu qu'ils en aient dans le cœur en s'endormant paisiblement.

#auxétoiles#




lundi 27 janvier 2014

#regardeleciel#

Dans la voiture.

Paris s'ébruite à l'extérieur, j'ai eu peur d'être en retard, mais non voilà, je suis en avance et même, garée.

C'est l'heure d'y aller, je me presse un peu, je n'aime pas les gens tard le soir qui me regardent de côté, alors vite vite, qu'il arrive.
La gare est grande, je me rappelle les photos il y a peu, et on se retrouve à la croisée des allées.
Les retrouvailles sont apaisantes.

On cherche de quoi manger, il y a tout et rien en même temps, et puis attends, attends, par-là, il y a un jap', je travaillais là avant, je connais, et je me laisse guider.

Il y a un peu de monde, mais pas trop non plus, en même temps c'est la semaine et en semaine les gens ne sortent pas autant.
Ils ont des belles baguettes, que je reluque tout le long du repas, et je lui dis tiens voilà, je vais en embarquer une paire, en souvenir.
J'aime les souvenirs.

Alors voilà avant de partir je demande à la serveuse si je peux leur prendre les baguettes, sans la regarder, et sa réponse baragouinée semble me dire oui.
J'ai le sourire, et, dehors, je le regarde en brandissant fièrement mon souvenir, je lui dis voilà tu vois, ça vaut le coup de faire ça honnêtement, et il me dit, en rigolant "oui sauf qu'elle t'avait dit non".
Ca coupe le chiquet, mais je m'en fous, je rigole et au moins, j'ai ma conscience pour moi.

On retrouve la voiture non sans mal, j'aime marcher à son bras, et, en s'engouffrant dans la voiture, des petits chocolats pour la gourmande que je suis.

Dans le rétro, le camion derrière qui cachait la place au chaud.
Dessus, comme un message posé là l'air de rien, Regarde Le ciel.
En levant les yeux, la nuit étoilée.

#regardeleciel#



jeudi 23 janvier 2014

#quandmonchatmeronronne#


Le ciel est doux.

Les chats le sentent, je m'apprête à leur faire un coup en douce.
Ils se tapissent dans l'escalier, font ce que j'appelle "la carpette", ils s'aplatissent contre les marches pour ne pas que je les attrape, comme pour se fondre avec elles, et ne faire plus qu'un.
En vain.

Je prépare tout, je finis par les avoir sans trop courir après, ou ils courent, ou ils mutent en carpettes, Muxu a joué les curieuses et Schreck le tapis, et les voilà chacun dans leur caisse de transport.
J'ai le cœur qui se serre en les entendant miauler, surtout pépère qui est claustro.

OUI, mon chat est claustro.
Ne riez pas, ou je vous le prête à l'occasion pour un trajet.

J'étais en avance, j'avais envie de me débarrasser de la corvée du véto, j'aime pas les emmener, c'est un peu comme aller à l'hosto quand on est malade.
Je suis donc à la porte, sur le trottoir, avec les deux caisses par terre et les chats qui miaulent à tout va.

Le cabinet, c'est une grande maison vieillotte, avec des briques et du lierre, et une porte en fer qui grince quand on l'ouvre.
Dans le jardin, y'a une biquette, et des oiseaux dans l'entrée. Muxu tortille du derrière dans sa cage, elle en aurait bien fait quelques pas de chasse je crois.

On commence par le gros matou, la pesée, 1kg en 1an, intérieurement je pense oui ben le pauvre avec tous ces changements en peu de temps, extérieurement je prends ma tête de "qu'est ce que vous voulez, ben oui...", et puis le véto croit bon d'ajouter "ah mais bon, c'est pas bien grave, l'obésité chez le chat n'est pas morbide, juste que quand ils sont trop gros, ils ne peuvent plus faire leur toilette arrière".
Euuuuuuuuh.. mon chat n'est pas obèse, juste très grand et enrobé, un peu.

Il prend la seringue avec l'aiguille au bout, pince la peau, l'aiguille disparait et hop, la seringue se vide d'un coup de pouce.
Puis il tâte encore un peu, et me dit "bon, y'a une petite boule, là, qu'on sent quand on papouille un peu fort". je dis ah bon? ah oui, peut-être je ne sais pas, je n'ai rien senti.
Puis il est question de mots que je n'aime pas, tumeurs, biopsie, survie, 6mois à 2ans.
Merde.
Merde Merde Merde et ReMerde
.
Et je m'appelle Madeleine Fontaine.

C'est au tour de Muxu.
Non, je lui dis en reniflant, elle n'a pas eu de chaleurs, enfin je n'ai rien vu du tout.
Oui, elle va dehors (tortiller du cul devant le gros chat noir des voisins qui vient la chercher à la baie vitrée).
Non, elle n'attend pas de petit; du moins je ne crois pas.

Je rentre avec Schreck qui miaule tout ce qu'il peut, ça va qu'il est à jeun sinon il aurait pissé dans la caisse. Au mieux.
(Je vous dis, ne riez pas!).

J'ai pleuré pleuré pleuré.
Le moral a chuté chuté chuté.

J'ai embarqué la grand mère faire les boutiques, j'ai été boulimique de Soldes.
J'ai acheté les assiettes à étoiles, avec les flûtes et la nappe assorties, pour avoir des étoiles partout, parce que dans les mirettes il en manque un peu des fois.
J'ai acheté des trucs de filles.
Et j'ai proposé aux nénettes une psychothérapie digne de Belle Toute Nue.

Je suis allée rechercher Muxu, encore sonnée; ça y est on est tranquilles, elle n'aura pas de bébé.
Elle en était à ses deuxièmes chaleurs.

Non non, je n'ai pas pris de décision encore.
Je vous rappellerai.

Sur le canapé, les pensées dans le dilemme.
La meilleure place, c'est sur mes genoux.
Et il se met à ronronner à mes mains sur son poil soyeux.

J'ai pris ma décision.
Une biopsie et ça ira.
J'en croise mes doigts.

#quandmonchatmeronronne#




mardi 21 janvier 2014

#dansmonjardind'hiver#

En cuisine.

La porte grince dans mon dos, et il se frotte à mes jambes en ronronnant.
Peut-être quelque douceur finirait-elle par tomber au grand hasard à hauteur de leurs museaux?

Puis, voyant que non, rien ne tombe tout cuit au creux de leurs babines alléchées, ils font le dos rond devant la baie vitrée.

L'hiver a envahi le jardin.
L'hiver doux et automnal, les fleurs en fleuriraient presque, timides d'éclore leurs pétales encore natifs.




Muxu au port de Reine attend sagement que je daigne lui ouvrir; en attendant, elle piaille un peu, histoire de se faire entendre et voire même de se faire plaindre quand, prenant un ton pleurnichard, je lui demande:
"oooooooooooh ma pomponnette, tu veux sortiiiiiiiiiir????"

Elle tape la pose le temps que je la prenne en photo, mais ça l'embête quand même, elle se débat un peu.


Monsieur Schreck attend sagement et sans rien dire, et se prête un peu plus facilement, quoique plus furtivement aussi, au jeu du cliché.
Avant de filer, une fois la porte ouverte.

Dans mon jardin d'hiver, les petits pots sont nus en attendant la floraison, et la cabane à oiseaux a depuis longtemps été désertée. Mais on la laisse, au cas où peut-être, ou bien pour se rappeler.
Je crois qu'elle a toujours été vide, en fait.
Alors pour s'inventer qu'un jour, il y en a eu.

Les chats, à l'affût; ils font mine de chasser, mais juste mine de, ils courent partout et font leurs intéressants parce que je suis là.
Princesse Muxu lape l'eau de pluie dans le bidon en plastique.



 
 
Le printemps manque.
 
Et je fredonne une mélodie d'Henri.
 
 
#dansmonjardind'hiver#

lundi 20 janvier 2014

#lapetiteboitedanslagrandeboite#


Je suis arrivée tard.
Garde oblige.
Et tout le monde m'attendait, la coupe à la main.

J'ai tourné longtemps pour une (petite) place que j'ai finalement trouvé deux rues plus loin.
J'ai cherché longtemps pour une porte ouverte qui était fermée.
J'ai râlé longtemps pour un immeuble qui était en fait celui d'en face.
(d'où la porte ouverte fermée, c'est dingue comme tout s'éclaire d'un coup).

J'ai maudit les sacs lourds, j'ai maudit Mam qui ne répond pas quand on l'appelle, j'ai maudit le livreur asiat' de sushis qu'elle m'a fait suivre en pensant qu'il prendrait le bon chemin.
Et je me suis maudite d'avoir confondu 6 et 8.

J'ai fini par arriver, et tout le monde m'a servi du Lauriane par-ci, Lauriane par-là.
J'ai attrapé une coupe à bulles, ça pétillait et c'était chouette ce petit crépitement contre les parois hautes; j'ai bu un peu, et doucement, pour pas être pompette trop vite, tout de suite, je me suis posée dans le canapé et j'ai enfin pu souffler.
J'ai arrêté de râler avec les bulles qui pétillaient.

J'ai trinqué, tchin tchin, tchin à tes 14 printemps tout frais, tchin en se regardant dans les yeux sinon ça porte malheur, tchin à toi, tchin à vous, oui tchin tchin à tous, on s'aime, on est en clan, et c'est reposant.
C'est rassurant.

Il y a des lumières, et du rouge.
Rouge amour, rouge passion, rouge colère.
Et des girafes, jusque sur la table du balcon.

Une table aux allures africaines.
Un post-it de résolution.
Une grande marmite; de quoi ranger les enfants plutôt que de les congeler, je dis en rigolant, ça fait rire Gillou et Tata rit jaune aussi, mais c'est bon, c'est pour riiiiiiiiiiiire, et j'ajoute rire de tout, c'est être libre aussi.
Je ris oui, mais pas de tout me dit-elle.

Le gâteau.
Un 14 qu'on plante dessus, et les bougies qu'on allume sans se brûler.
La photo qui date un peu.
On éteint les bougies et on s’époumone en amenant le gâteau.
Sans trébucher.
1... 2... 3...
Et les bougies sont soufflées.

Des cadeaux.
Une grande boîte qui renferme d'autres boîtes, ça fait comme les poupées russes sauf que c'est pas des poupées et c'est pas russe non plus.
Et il rigole en alignant les petits mots sur la table.

Les heures ont tourné.
La route est longue.
La nuit sera courte.

#lapetiteboitedanslagrandeboite#









#j'aimelagalette#


La gourmandise est notre plus joli défaut.
Peut-elle être, dans certains cas, aussi une qualité?

Se mettre aux fourneaux.
Rien de plus fastoche, je triche quand même un peu.

Les fèves ont la mine réjouie.
Et deux valent mieux qu'une.

Un pour une.
Une pour un.

Verser.
Dans un (grand) saladier (haut).
Mélanger.
Fouetter.
Battre.
En avoir foutu partout (le saladier était trop bas).

Recouvrir.
Malignement.
Pas pour tricher, hein. Juste pour savoir.

Et, de la pointe du couteau:
Je serai ton Roi, Je serai ta Reine.

L'air frais.
Les sacs.
A l'arrière de la voiture, parce que je suis la plus petite et la plus pliable.
Et je suis bien, là, à partir dans cette bulle.

Les sushis pour commencer.
Tous autour de la table + 2 sur le canapé.

Couper.
Proprement.
Et distribuer.

La noisette et le pralin.

Pas de miette sur le canapé.

Mon Roi.

Et, dans la nuit, les étoiles ont eu raison de moi&&.

#jaimelagalette#





dimanche 19 janvier 2014

#degarde#

Le réveil est dur.
Encore plus quand je me dis que la garde, c'est TOUT le week-end.

Il y a des étages.
Il y a des (fausses) urgences (et des vraies aussi, quand même).

Il y a du bloc, pour réparer la casse.
Et du sang qui dégouline.

Et le chocolat, pour (re)prendre des forces (et garder le moral).

#degarde#










lundi 13 janvier 2014

#Pixar#

Il fait gris.
Je prie intérieurement pour qu'il ne pleuve pas.

Session courses avec la grand-mère.
Elle cherche la liste 5 fois de suite parce qu'une fois en main, elle la remet et oublie où.
C'est pas gagné.
Ca va, je sais ce qu'il me faut. On entame ensemble, mais c'est pour mieux qu'elle me sème dans les allées de Carrefour.
Je l'attends patiemment, et c'est mon nom que j'entends à l'interphone du magasin.
La honte. Intersidérale.

Je vais la chercher, la retrouve, et elle a l'air paumée dans cette grande allée, elle regarde de l'autre côté, et je suis furieuse comme on doit l'être après un enfant qu'on égare, je rumine et fulmine en même temps, et puis à la voir là, perdue, j'en ai presque de la peine.
Je l'attrape par le bras, et elle, de me dire "ben oui hein, mais hé, je ne te retrouvais plus et puis bon, comme il faut que tu partes..".


Je prends mes cliques, laisse les claques, et me voilà partie pour l'enfance.
Je me gare un peu haut, en reluquant d'avance les photos que je vais bien pouvoir faire au passage; je me pose, marche vite, entre deux clic clac kodak c'est dans la boîte, et me voilà à l'attendre au pied du métro.
Clic clac, ça aussi, dans la boîte.

Elle n'arrive pas, on ne s'est pas comprises en fait, je reprends ma route et là voilà sur le pont là-bas.
Un an mais c'est toujours pareil, ça fait comme si c'était hier, et d'hier en hier les années se comptent sur le bout des doigts.


"Vous travaillez là?" euh non non, et c'est bien dommage, parce qu'un tournage ça a l'air chouette quand même, et voilà on est obligéeS de monter et descendre par les escaliers verts, c'est rigolo.


Il y a des dessins en grand partout sur les portes vitrées, l'Univers des histoires à portée de poignées.
On teste les portes, on essaie d'entrer, on n'a juste pas vu "ENTREE" en gros en blanc mais qui ne se voit pas trop quand même eu milieu des dessins, c'est peut-être qu'on a déjà la tête dans les nuages de Là-Haut.
Une femme me tend sa place, je me dis c'est bizarre, y'a baleine sous gravier, depuis quand les gens de nos jours sont-ils gentils généreusement? mais non me voilà mauvaise langue parce que la place est bien valide et hop, on s'engouffre entre les murs.


Il y a des statuettes en platre, des dessins de pastels, des croquis à la main.
Il y a de la couleur, beaucoup.
Et les répliques qui reviennent de loin.
Il y a des dessins rigolos, des films à revoir et d'autres qu'on ne connait pas.
Des schémas qui n'ont à voir avec le bouquet final, et des airs de ressemblance des fois entre les uns et les autres.
De la magie dans les mirettes.

Boire un coup à la belette.
Virgin Mojito and Co.

La nuit est montée.
Et, au pied du métro, on se promet bientôt.

#Pixar#



























samedi 4 janvier 2014

#lalecturecestlaculture#

Je me sens rincée.
Chaque mouvement que je fais me rappelle qu'hier j'ai été tordue dans tous les sens pour retrouver une silhouette normale, et mon corps de me dire voilà, bien joué, c'est seulement maintenant que tu te réveilles, c'était vraiment pas trop tôt.

Merci.

Aussi, en regardant par la fenêtre et en voyant toute cette grisaille hivernale, je remets mes plans à plus tard.
J'ai un peu de marge devant moi avant le rendez-vous de ce soir, et je compte les heures qu'il me reste.

Je me dis tiens, je vais laver la voiture, faire les courses, aller à la Poste.
Je me dis oh non, trop la flemme de me trainer à Paris bien que l'expo des Princesses aie l'air super et finisse bientôt.

Et finalement me voilà dans le canapé, sous deux plaids (parce que un, c'est vraiment pas suffisant), avec le livre à la main.
Ou comment me rassurer que je suis ni parfaite ni connasse.

Ca commence fort.

 
Ne pas se sentir visée. Du tout.
Moi qui suis brune à bouclettes et qui suis ressortie la dernière fois brune lissée en carré plongeant court.
 
Hum.

 

 
 
 


Là je revois la scène..
La file d'attente en caisse pour une bouteille d'eau, LoLo qui me regarde, qui remonte son pull, baisse le collant et sort le bide, et me demande "dis, on dirait pas que je suis enceinte quand même un peu?"
Et moi, de briser le stratagème "euh non LoLo, les femmes enceintes, elles ont du bide en haut, pas en bas". Déçue, elle a remonté son collant.
Personne n'a rien vu (surement), en tout cas rien dit.
Mais nous, on s'est bien marrées.


 
Ou comment être réellement blonde.
(Mais qui n'est jamais blond(e)?)
 
 
 
Et là je pense au rendez-vous chez le véto pour Muxu; où j'ai parlé de chat jusqu'au moment où le mec, à l'autre bout du téléphone, me demande confirmation: "donc c'est pour une castration?"
Euuuuuuuuuh... non en fait c'est une femelle...
Ahah.
Blonde.
 
 
 
Euh, j'ai aussi fait latin...
 
J'ai pouffé de rire. Tellement que ma grand-mère s'est penchée au dessus de moi pour lire, et qu'elle n'a pas compris.
J'ai pensé à mes collègues, à leurs têtes quand je leur ai dit qu'on était un service de gros culs.
A la rentrée, je leur dirai qu'on est toutes de J-Lo. Ca passera mieux.
 
 
 
 
 
Il y a aussi dans le bouquin des règles. Un peu comme dans les livres d'école, de grammaire ou d'orthographe, des trucs en gras, encadrés, un peu des "à noter" et "à retenir".
Guide de survie.
 
 


 
(C'est même recommandé aux mecs d'y glisser le nez.)
 
(une formation hypnose est prévue au boulot dans les mois à venir...)
 
 
 
Et puis il y a les pages fétiches.
Une, notamment, qui me met du baume au cœur, et nous rappelle qu'on peut vraiment faire n'importe quoi avec n'importe qui.
 

 
 
Et enfin, pour conclure, on retiendra REELLEMENT:
 


 
 
 
 
 
J'aime ce livre.