Le mal.
C'est quand on pense qu'il est parti qu'il revient frapper.
Peu importe la durée, on peut s'aimer peu et longtemps, et très fort et très court.
Trop de très.
Non, ce qui compte au final, c'est ce que l'on (se) donne.
L'échange. Ou pas.
L'énergie dépensée pendant ce laps de temps où de deux on ne fait qu'un.
Le gâchis d'une rupture qui nous fait encore dépenser de l'énergie.
Pour se relever..., reprendre sa marche, et avancer.
Jusqu'au prochain carrefour.
Le cœur qui saigne en dedans et les plaies qu'on n'arrive pas à refermer.
Pas de crainte, peu de peurs.
Mais des manques, des vides, des trous béants.
On attend que quelqu'un les remplisse, les apaise, nous porte autrement qu'à bout du souffle qu'on a perdu.
Se relever intérieurement; bien plus difficile que l'image qu'on (se) donne.
Se rattacher à des riens. Ne plus y penser.
Et, quand l'esprit divague un peu trop près, le cœur se serre à en pleurer.
#jevaisbiennet'enfaispas#
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